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Le blog des Amis de Buxières

Des nouvelles… Des Amis…

7 Mai 2015 , Rédigé par Jean - Brice

A toutes celles et tous ceux qui ont croisés les Amis de Buxières, il y a peu ou il y a longtemps…

Les 12.13.14.15 et 16 août 2015,

ils présenteront leur nouveau spectacle

au (superbe) château de Condes. Son titre

« Un croquant nommé Jacquou »

1815 : Napoléon part à St Hélène.

Martin Ferrand, pauvre métayer du Comte de Nanville, (Eh oui , nos personnages et lieux sont hauts-marnais !) est condamné aux galères où il meurt au bout de quelques mois. Son fils Jacquou n’a que 7 ans.

Sa mère disparaît, elle aussi, d’épuisement, de chagrin et de maladie deux ans plus tard. A partir de ce jour, seul dans la vie, Jacquou sera animé par une seule et même idée : devenir le justicier des paysans opprimés.

Malgré un contexte économique, social et culturel difficile, les Amis veulent croire qu’un projet, comme celui-ci, vaut mieux que de longs discours « politiques ». A condition, qu’il mobilise les forces vives d’un territoire bien délimité. C’est pourquoi :

Nous vous sollicitons à participer

Comment ?

  • En nous contactant au 0648246933
  • Ou par courriel : michel.sarrey@orange .fr ou amisdebuxieres52@gmail.com
  • Par lettre : Amis de Buxières – 40 bis, rue de la Pompadour – 52120. Autreville sur la Renne
  • En venant participer à notre prochaine réunion d’échanges à la salle des fêtes de Condes (3 km au nord de Chaumont. ) le vendredi 15 mai à 20h.
  • Ou tout autre moyen à votre convenance

Vous pouvez vous inscrire par un de ces moyens et nous adresser vos coordonnées de façon à recevoir nos infos (plannings, groupes de travail, répétitions après le 1er août, …)

Le spectacle vivant obéit au message suivant :

« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part »

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